Wario : Master of Disguise

Wario, fatigué de ne jamais devenir riche, se change les idées devant la télé, mais l'émission d'un voleur gentleman le forcera à repartir en quête de fortune.

Comme marqué dans l'introduction, Wario regarde l'émission d'un voleur gentleman. Jaloux, il décide d'inventer le Télécasque pour entrer dans la télé. BINGO ! Ça marche, il vole même le sceptre qui permettait au héros de la série de devenir voleur, grâce à ce spectre, Wario est devenu à son tour, un grand voleur sous le nom de "Vent Pourpre" et part en quête de la Pierre à Veux pour devenir riche, mais bien évidemment, le comte Cannelloni (l'ancien propriétaire du sceptre) ne se laissera pas faire. En gros, c'est le scénario du jeu, qui est selon moi, un peu banal, mais qui offre des prétextes plutôt corrects pour relier les niveaux entre eux.

Quand on joue à ce jeu, la première surprise, c'est que n'est pas un jeu où on casse le figure à tout le monde, c'est un jeu où on doit réfléchir, bien choisir les déguisements pour avancer dans le jeu, et même pour ouvrir des coffres, ça manque d'action, il faut réussir un mini-jeu banal, des mini-jeux WarioWare en plus long en fait. Pour un jeu Wario, ça m'a plutôt surpris, en tout cas, moi, je ne m'y attendais pas. Mais ce qui m'a surtout surpris, c'est que les combats... Ne sont pas des combats, on attaque l'ennemi avec l'arme spécifique au déguisement ou en lui sautant dessus, et il meurt, ça va de 1 à 5 coups environ, et les ennemis ne sont pas très costauds, ni très nombreux excepté dans le dernier niveau, c'est dommage...

Toutefois, malgré ce lourd défaut, les déguisements sont bien trouvé, le voleur va super-vite, le cosmonaute tire où l'on veut, l'artiste crée des blocs pour qu'on puisse avancer ainsi que des cœurs pour se régénérer, la savant brise les murs fragiles et voit l'invisible, l'éclectique rétablit l’électricité (logique ^^) et permet de voit dans le noir, le marin permet de naviguer sur l'eau ainsi que se déplacer librement en dessous , la dragon détruit les blocs et passe au travers des planchers et le démon atteint de l'altitude incroyable. C'est diversifié, et ça m'a bien plus !

Mais le point que j'ai bien aimé, c'est la musique, rien que le theme de Carpaccio, le président de la société des voleurs anonymes, elle est géniale ! Le theme des boss aussi est bien réussi. Enfin bref, pour moi, c'est un bon jeu, mais ils auraient du engager un autre héros que Wario, parce que quand même, un jeu comme ça ayant pour lui pour héros, c'est un peu un piège, comme les coffres cyclopes du jeu.